ADOUBEMENT : Cérémonie initiatique qui consistait dans la remise au nouveau chevalier de ses armes et de son armure. Le caractère solennel et religieux de cette cérémonie comporte le bain préalable pris par l'écuyer, la veillée de prière, la remise du baudrier et de l'épée, des éperons et enfin de la collée.
AILETTE : Pièce d'armure qui, fut posée sur les épaules pour se protéger des coups de masse.
AMIRAL : Chef de la flotte de guerre.
ANELAGE : (n.f) Epée courte, lame plate, large au talon et à l'extrémité très pointue.
ARAINE : (n.f) Trompette de guerre.
ARBALETE : Arc d’acier monté sur un fût (l’arbrier) qui sert à épauler ; se bandant verticalement avec un ressort d’abord à l’aide d’un crochet fixé à la ceinture, la base maintenue par le pied posé dans un étrier fixé à son extrémité. A partir du XIIIe siècle, à l’aide d’un levier ou pied de biche ; elle nécessite la mobilisation de plusieurs hommes afin de protéger le tireur en cours de rechargement.
ARC : Arme formée d’une verge de bois ou de métal que l’on courbe au moyen d’une corde tendue servant à lancer des flèches.
ARMES ou ARMOIRIES : (n.f) Signe individuel, familial ou communautaire apparaissant sur l’écu des combattants, permettant d’identifier son porteur.
ARMURE : Ensemble des défenses métalliques protégeant le corps du combattant.
BARDE : Equipement d’une monture. Armure de cheval.
BASSINET ou BACINET : Casque plus léger que le heaume initialement porté en complément et doté d’une protection de face, ponctuée de trous d’aération et de vision.
BAUSSANT : Noir et blanc, qualifie le gonfanon des Templiers, blanc surmonté d’une bande noire horizontale.
BAZELAIRE ou BADELAIRE : Dague de lame longue et symétrique munie d’une poignée en forme de « L » majuscule qui enserre la main.
BEFFROI : Tour roulante militaire.